13 juillet 2008
[...]
Je me fous de ne plus être en vacances depuis hier matin, 5h30. Je me fous qu'il fasse beau ou moche, froid ou chaud. Je me fous des 4 semaines intenables qui m'attendent à moucher des nez.
Il me manque.
Je comble avec ses mots qui résonnent dans ma tête, avec les souvenirs, avec la certitude grandissante, avec l'image de ses yeux qui ne savent pas mentir.
Je comble.
Et aujourd'hui c'est dur.
Aujourd'hui la gorge reste serrée.
Aujourd'hui, la distance me bouffe.
Trop de manque.
J'attends.
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