I SHIT ON OASIS. AND ON PATRICK WOLF TOO.

Il paraît qu'il faut que j'arrête d'y penser. Mouais. J'ai l'impression d'être revenue à la case départ. Les bouquins, le programme tellement long que j'en ai la nausée de vertiges, les trucs et les listes interminables qui se rallongent un peu plus chaque jour... putain c'est quoi ce bordel? J'ai appris à détester mai et juin. Contre mon gré. Parce que j'ai le bide qui se tord sans raison, ou avec mais alors je me dépêche de refouler tout ça.
J'ai rien à raconter. J'ai repris les bonnes habitudes: 9h-19h et vas-y ma fille, tu peux le faire, même si t'y crois plus trop. Voilà voilà.

L'intermède de samedi soir fut nécessaire, cela dit. A 2h du matin, je marchais comme un transexuel bourré parce-que les talons à la fin d'une journée qui a commencé tôt, ben c'est juste pas l'idéal pour battre le pavé. Et que merde, j'ai des ampoules et qu'il faut que je prenne le volant et je sens plus mes pieds. M'apprendra tiens!

Il commence à faire beau et chaud. Je dois aller m'enfermer à la bibilothèque toute l'après-midi. C'est vachement plus fun que de se foutre au soleil.
Non?

Comments

[Jeno]

Ouais c'est vachement mieux la bibliothèque, c'est ce que j'essaie de dire aux gens qui m'appellent alors qu'ils sont en train de bronzer dehors.

Ils y connaissent rien.

Courage quand même :)